Cette soirée me glaçait le sang dans les veines . Entre voilages nocturnes et brume céleste, la nuit apparaissait peu à peu, dévoilant son obscurité la plus totale. Un vent soufflant par « à coups » venait gifler mon visage au point de blesser mes joues rougies par le froid. Cela le long de ce chemin infernal, long et languissant pareil à un serpent, immobile,pervers,n'attendant qu'un seul moment de faiblesse pour surgir afin d'écorcher les mains et les genoux des personnes passagères prétentieuses d'oser se présenter sans aucun prétexte pertinent sur le dos rugueux et dangereux de cet animal peureux.
Affectée par les discours perpétuels et pédants de mon amie, spontanément je me consolais sur le paysage, nocturne et frivole. Soumise au mouvement permettant l'harmonie dont nous sommes pourvus, les étoiles semblaient tomber,ou même danser dans cette immensité. l'envie de lever mes mains vers le ciel afin d'en attraper une me frôla l'esprit, j'eus beau attendre, ce moment ne vînt pas. Les jeux de lumières causés par les charmants de notre sombre et capricieuse volupté puis de dame le lune si prude, si bienséante m'émerveillaient.
Je me rendis compte que cela m'était bien singulier pour une si lointaine habitude.
Lors d'une seconde étape nocturne, nous marchions mi-champs mi-bois. Les hiboux grondaient qu'on les dérangea d'un coté, les grillons chantaient accueil et enthousiasme de l'autre. Les battements irréguliers de mon coeur s'accéléraient sous l'angoisse et la méfiance de l'obscurité , lorsque j'eu le délice de contempler une biche laissant admirer ses éclats d'yeux brillants, fort contraste avec le sombre labyrinthe duquel elle provenait rappelant les éclats de lune. Celle-ci grâce incarnée en un animal majestueux et modeste ne semblant aucunement mécontente de cette rencontre se prit un moment à détacher son regard du mien puis comme par magie, sa majesté disparut.
Les yeux dans le vague, je continuais ma route. Amnésie suicidaire.
Affectée par les discours perpétuels et pédants de mon amie, spontanément je me consolais sur le paysage, nocturne et frivole. Soumise au mouvement permettant l'harmonie dont nous sommes pourvus, les étoiles semblaient tomber,ou même danser dans cette immensité. l'envie de lever mes mains vers le ciel afin d'en attraper une me frôla l'esprit, j'eus beau attendre, ce moment ne vînt pas. Les jeux de lumières causés par les charmants de notre sombre et capricieuse volupté puis de dame le lune si prude, si bienséante m'émerveillaient.
Je me rendis compte que cela m'était bien singulier pour une si lointaine habitude.
Lors d'une seconde étape nocturne, nous marchions mi-champs mi-bois. Les hiboux grondaient qu'on les dérangea d'un coté, les grillons chantaient accueil et enthousiasme de l'autre. Les battements irréguliers de mon coeur s'accéléraient sous l'angoisse et la méfiance de l'obscurité , lorsque j'eu le délice de contempler une biche laissant admirer ses éclats d'yeux brillants, fort contraste avec le sombre labyrinthe duquel elle provenait rappelant les éclats de lune. Celle-ci grâce incarnée en un animal majestueux et modeste ne semblant aucunement mécontente de cette rencontre se prit un moment à détacher son regard du mien puis comme par magie, sa majesté disparut.
Les yeux dans le vague, je continuais ma route. Amnésie suicidaire.
